Ressources Formation Stéphane Edouard : La peur : La supporter, l’affronter, la vaincre

toto9991

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16 Juillet 2024

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

Voir la pièce jointe 41846

FLASHBACK : LA PEUR EST LA NORME DE L’ENFANT​

Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

Bref, la peur est, comme la solitude, un sentiment avec lequel l’enfant prend très jeune l’habitude de cohabiter, contraint et forcé.

En grandissant, elle disparaît…​


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hamidregragi

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9 Juillet 2024

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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FLASHBACK : LA PEUR EST LA NORME DE L’ENFANT​

Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

Bref, la peur est, comme la solitude, un sentiment avec lequel l’enfant prend très jeune l’habitude de cohabiter, contraint et forcé.

En grandissant, elle disparaît…​


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Dreannaeffrf

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20 Mai 2023

L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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FLASHBACK : LA PEUR EST LA NORME DE L’ENFANT​

Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

Bref, la peur est, comme la solitude, un sentiment avec lequel l’enfant prend très jeune l’habitude de cohabiter, contraint et forcé.

En grandissant, elle disparaît…​


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sophie74

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Merci de nous la mettre à disposition, vous êtes royal !
 

Polypocket1

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Merci chef c'est vraiment utile !
 

Cazelus2

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L’anecdote du mois​

Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

Bref, la peur est, comme la solitude, un sentiment avec lequel l’enfant prend très jeune l’habitude de cohabiter, contraint et forcé.

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ahmed040

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16 Juin 2024

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Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

Bref, la peur est, comme la solitude, un sentiment avec lequel l’enfant prend très jeune l’habitude de cohabiter, contraint et forcé.

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PaulFr78

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Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

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Magenta808

l'Actif 🥉
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Contrairement à ce que propage la fémininisation depuis 30 ans avec ses « c’est beau un homme qui pleure », je vous déconseille sérieusement de prendre au mot cette idée reçue, au risque de passer pour une belle fiotte. Je le sais, je l’ai fait.

Bon, j’avais mes raisons (j’étais très, très déçu de quelque chose ou plutôt de quelqu’un) mais n’empêche, j’ai été très con. Je m’en suis vertement voulu, mais de tout échec il faut tirer leçon, et c’est ce que j’ai fait.

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Quand on était enfant – même l’enfant de deux parents normaux qui vous nourrissent, vous chérissent, vous protègent et vous aiment, on avait souvent peur.

Peur de l’extérieur, principalement, c’est-à-dire des univers excentrés au-delà des limites de leur champ de surveillance. La régence du monde par d’autres adultes, dont nous n’étions pas l’unique source de préoccupation, s’imposait à nous par une implacable succession de comparaisons en notre défaveur.

Ces «autres» adultes qui remplissaient le monde entier étaient plus grands, plus imposants, leurs voix plus lourdes et menaçantes, leurs connaissances plus exactes, leur pouvoir de punition plus prompt. Nous ne les défiions qu’à de rares occasions, mis hors de nous par ce qui nous semblait alors, dans nos yeux d’enfants, une insoutenable injustice.

Et cela se terminait généralement avec quelques hurlements bien sentis, une gifle ou deux, et une privation de liberté (ie le fameux «va dans ta chambre») pouvant aller, dans les cas les plus extrêmes d’incivilité, jusqu’à 24h.

Bref, la peur est, comme la solitude, un sentiment avec lequel l’enfant prend très jeune l’habitude de cohabiter, contraint et forcé.

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